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Myriam Zeggat est une jeune illustratrice de 22 ans.

Passionnée de bande-dessinée depuis sa tendre enfance, elle s’initia au domaine très tôt en participant aux ateliers #BD d’Etienne Schreder en 2012/2013 où elle connu sa première expérience professionnelle : ” le tambour” inspiré de Günter Grass, un récit court publié en 2014 dans “WARATHA” oeuvre collective fruit de ces ateliers.

Elle intégra alors l’école des beaux-arts d’Alger afin d’y suivre une formation spécialisé en #peinture. Freelance artiste depuis 2014, elle travaillera entant qu’illustratrice, story-bordeur et concept artist.

 

 

 

Débutant en 2003, les oeuvres artistiques de Sneak sont une expression spirituelle, humaine et traditionnelle de sa personne. Sa valeur esthétique est présentée comme une composition rythmique combinant ses recherches géométriques et calligraphiques, sur différents supports, généralement que les interventions graffiti. Il s’intéresse à la perfection urbanistique, les valeurs humaines dans la vie urbaine quotidienne, ainsi que la promotion de la paix et le respect. Il est également parti de beaucoup de collectifs et projet de graffeurs tel que 213 Writerz, ou encore récemment SIIW.

 

 

 

SER DAS est né le 23 mai 1987 à Bejaïa. Après quatre ans de formation en droit, il rejoint l’Ecole supérieure des Beaux-arts à Alger en 2010. Sculpteur de formation (étudiant en fin de cycle) et street artiste, il est aussi membre du groupe 213 W (collectif d’artistes urbains).

Son travail artistique est basé sur les contradictions sociales. Travaillant sur les banalités, en faisant un lien avec les situations concrètes comme les jeux, avec Moh comme personnage banal.

 

 

 

Lmnt (a.k.a el far) writer urbain né à Souk Ahras en 1988
diplomé en psychologie clinique.

Passionné de lettrages de disciplines de rue et de calligraffiti ses
oeuvres ont un pied dans la tradition, un autre dans la modernité et
l’expression. Facettes d’une jeunesse en quête d’identité, il commence
à s’impliquer dans la nouvelle scène artistique algérienne à partir de
2011. Militant pour la liberté d’expression et la reprise de possession
de l’espace public, fait notamment partie des collectifs Ink
INK’Industriz , et SIIW.

 

 

EL Panchow est un artiste plasticien diplômé de l’école supérieur des beaux arts d’Alger en 2016, il est sculpteur de formation et adepte de la culture urbaine et du street art.

Actif depuis 2012 sur la scène algéroise, il a notamment participe au festival d’ARTIFARITI pour soutenir la cause du peuple sahraoui. Par la suite, en 2014, il a aussi participé à DJART ’14, le premier événement dédié à l’art dans l’espace public à Alger.

Plus récemment, en février dernier, il a fait partie de l’exposition collective Picturie Générale 3.

Le plus important de son travail se résume dans des peintures murales, où il traite des questionnements d’ordre social en visant le citoyen tout en essayant d’attiser la conscience collective.

 

 

Hatem Bousekra, agé de 33 ans est diplômé de l’Ecole Supérieure des Sciences et Technologies en Tunisie. Il a travaillé comme journaliste depuis 2007. Il a participé au “Teatro Studio” en 2008 et 2009. Il a également travaillé comme assistant réalisateur avec de nombreux réalisateurs, dramaturges comme Ezzedine Guénon ,Saleh Hammouda,la pièce “l’interview reste” en 2010 et le jeu “Bash” (el bech) 2013.

Il est membre de la trajectoire de l’espace pour les arts depuis Octobre 2010 et coordinateur de projets avec de nombreuses institutions de la Tunisie tel que l’Organisation internationale pour les migrations, l’Institut arabe des droits de l’homme, le réseau des droits de l’homme euro-méditerranéens, l’Institut français de Tunis et le théâtre Mralam suisse (théâtre maralam). Fondateur réseau membre U40 Arabesque culturel parrainé par la Commission allemande pour l’UNESCO et un membre d’un réseau de Arterial Network africain.

 

 

Mohamed Fariji est diplômé de l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan et de l’Ecole Supérieure d’Art et de Design Llotja de Barcelone. Il développe des projets artistiques à long terme qui interrogent la place de l’artiste et de l’homme, dans sa ville et son environnement. Son art conceptuel s’accompagne d’initiatives citoyennes et environnementales qui peuvent prendre la forme de workshops, performances, créations in situ participatives dans des espaces publics ou encore de formes plus radicales, comme la création de l’Atelier de l’Observatoire en milieu rural, ou la conception de projets éducatifs et curatoriaux.

Il a récemment engagé une réflexion collective pour de possibles reconversions de lieux publics et lieux de mémoire, à partir de son investigation esthétique autour de l’imaginaire et de la mythologie de l’Ancien Aquarium de Casablanca.

 

 

Algerian Parkour Family est le regroupement de plusieurs traceurs algérien pour former une seule âme une seule vision une seul adoration et surtout une seule famille. “Algerian Parkour Family” est aussi une association créer par ces membres qui sans doute va nous aider a surpasser plusieurs obstacles abstrait.

Venez découvrir leurs performance acrobatique monté pour le projet El Medreb, et ceci au son du compositeur El 3ou – العُ, ce soir à la Zerda d’El Medreb à partir de 16:30 au Hangar A.

 

 

 

El 3ou – العُ, étant un musicien dans un groupe et à la recherche de nouvelles inspirations, il s’est penché sur la musique traditionnelle qu’il pense intimement être un trésor. Ainsi il a commencé à partager des remixes en 2014.

Les premières pistes ont été associés à l’initiative de El MousTach “Ched Fel Asl”, il travailla aussi avec la série “Studio 27” en 2015.
Il a aussi composé pour de nombreux autres projets intéressants comme “Ba3oucha ” “Eddar Darek” et dernièrement “D’El Casbah” et “@El El Medreb“.

Certains d’entre eux contribuent au développement du mouvement artistique en Algérie, chose qui le passionne énormément.

Matensaweche tjiw tessem3ou le son que El 3ou a composé pour le projet El Medreb, qui accompagner la performance acrobatique de Algerian Parkour Family, ce soir à la Zerda d’El Medre à partir de 16:30 au Hangar A.

 

 

Après des études en marketing, Mehdi Hachid, se donne totalement à sa passion, la photographie, il en fait son medium et son métier.

Militant et engagé il réalise grâce à ses images, des projet tel que Les’Arts – Réseau Art et Culture, réseau artistique indépendant ou Timber Project, un programme d’échange entre le sud et le nord du pays. Impliqué dans diverse initiative, il met en avant le rôle de l’image, l’implication de l’artiste dans sa société et l’accessibilité de l’Art.

Amoureux d’Alger, il est photographe du projet de recherche d’El Medreb ou il réalise pour l’étude une #archive #documentaire des #bâtiments #abandonnés d’ #ElHamma.

 


Artiste photographe, autodidacte, passionné de l’image et inspiré par la vie, par ses subtilités, ses hauts et ses bas, Nadjib Bouznad prend en photo ce que nous ne voyons plus ou que nous voyons trop, le banal ainsi que la fantaisie de sa ville et de ses habitants.

Entre éphémères instantanés et compositions photographique soignées, loin des clichés flatteurs; Proche du petit quotidien Algérien, Nadjib Bouznad se place avant tout comme un témoin de son époque, à travers son projet Coup d’oeil.

Nadjib expose dans le fameux bus au niveau du Hangar B, les photos qui reflètent son expérience de recherche avec nous des mois en arrière. Son exposition est ouverte jusqu’au jeudi 22 septembre 2016!